Le désert des Bardenas Reales. Cela faisait un moment que ce nom me trottait dans la tête, que j’avais envie de découvrir ce paysage que l’on me disait si extraordinaire. Alors en Juin dernier, nous avons sauté le pas et pris la route en direction de ce lieu longtemps rêvé.
Le désert des Bardenas Reales, c’est une anomalie paysagesque située au Nord de l’Espagne. Un bout d’Amérique, oublié là au milieu de l’Europe. Le Far West en Navarre. 42 hectares de poussières, de canyons, de « barrancos », de terre rougeâtre, de formations rocheuses improbables façonnées par le vent et l’érosion depuis des siècles.
Mais ce désert n’est pas totalement désertique. Car si personne n’y réside vraiment (enfin, il doit bien y avoir quelques militaires qui y habitent vu qu’ils ont réussi à coller une zone militaire en plein milieu du parc), on y croise tout de même quelques bergers veillant paisiblement sur leurs troupeaux, de nombreux oiseaux (notamment des rapaces), des lièvres, des renards, des chevreuils, des sangliers …
Peu connu il y a encore quelques décennies, le désert des Bardenas Reales est aujourd’hui devenu un incontournable des photographes en mal de paysages escarpés, des nostalgiques de l’Ouest Américain ou encore des fans de Games Of Throne, venus rejouer les quelques scènes tournées ici pour la saison 6 de la mythique série. Alors, pour limiter les dégâts du tourisme, le désert a été classé parc naturel protégé en 1999 et reconnu réserve de la biosphère par l’UNESCO en 2000.
Il y a le désert, puis il y a cet hôtel. L’hôtel Aire de Bardenas. Un hôtel longtemps fantasmé et qui a contribué presque autant que les paysages à mon envie de venir découvrir ce petit coin de Navarre (bon soyons honnête, il a sûrement plus contribué).
Alors voilà, on a passé un week-end dans le désert des Bardenas.
L’hôtel Aire de Bardenas
C’est le vendredi en fin d’après-midi que nous posons enfin nos valises à l’hôtel Aire de Bardenas, après plus de 5h de route depuis Toulouse.
Cet hôtel, j’en rêvais depuis tellement longtemps qu’en arrivant j’ai eu cette peur un peu ridicule d’être déçue. Vous savez quand vous idéalisez tellement une chose qu’elle vous parait finalement un peu fade et sans saveur ? Cet hôtel, primé de nombreuses fois pour son architecture, immortalisé des centaines de fois sur Instagram, allait-il réussir à me séduire ?
La réponse est sans conteste oui, le charme a définitivement opéré sur moi ! C’est simple, tout m’a plu ! Les cerisiers à l’entrée de l’hôtel croulant sous les fruits mûrs, le bar que l’on aperçoit dès l’accueil, les alcôves cosy dans les couloirs, la chambre immaculée, notre petite terrasse privée avec baignoire extérieure, la superbe piscine, le potager qu’on rêverait tous d’avoir chez soi, les petites lumières suspendues un peu partout à l’extérieur…
Une fois installés dans notre chambre, c’est avec plaisir que nous partons découvrir un peu plus l’hôtel. On flâne sur les allées en béton, on s’arrête devant les cactus disséminés ici et là, on s’installe sur le mobilier Fermob qui invite au farniente, on teste l’eau de la piscine… L’hôtel est entouré de caisses en bois et si l’idée peut paraitre bizarre de prime abord, cela donne un charme fou au lieu, un côté hors du temps qui nous transporte loin de notre quotidien. La déconnexion est totale.
Pour cette première soirée, on choisit de continuer à profiter à fond de l’hôtel : passage obligé au bar pour un cocktail de début de soirée puis diner dans leur sublime restaurant. Bon, les plats sont un parfois un peu gras (comme souvent en Espagne) mais le goût est là et les produits extra-frais, certains provenant même directement du potager que l’on peut contempler de notre table. Qui dit mieux ?
Si la région est réputée chaude et très sèche en été (soit disant « de rares pluies »), l’orage nous surprend pendant notre diner. Mais nous ne sommes pas étonnés, il pleut sur la France et l’ensemble de l’Europe depuis maintenant des jours… Toutefois, ce dernier ne nous empêchera pas de tester la baignoire extérieure en fin de soirée. Mouillés pour mouillés…
Le lendemain, le temps semble vouloir nous laisser un peu de répit. C’est sous un grand ciel bleu que l’on se lève pour un petit déjeuner vraiment excellent. Oeufs brouillés aux poivrons bien baveux, jambon, fromage, pâtisserie maison, confiture, pain grillé… le tout servi directement à table. Un dé-li-ce.
Après s’être copieusement régalés, nous partons (enfin) explorer le fameux désert des Bardenas, nos petits pique-niques commandés la veille à l’hôtel sous le bras. Le concept est top, on peut demander les sandwichs que l’on veut, des gâteaux, des boissons et le chef nous prépare des petits paniers repas à emporter !! Bon par contre, j’avoue c’est un peu cher, quand j’ai vu le prix en partant (je n’avais pas pensé à demander lors de la commande), je me suis dit qu’on aurait peut-être pu faire autrement… mais pour les personnes qui ne veulent pas avoir à se soucier de ce genre de détails techniques, c’est un idée vraiment pratique. De toute façon, le service de cet hôtel est irréprochable, ils sont vraiment aux petits soins pour leurs clients à tous les niveaux !
Informations pratiques
L’hôtel Aire de Bardenas est situé Carretera de Ejea, à Tudela, sur le chemin de l’entrée du parc menant à la Negra.
Il propose différentes chambres, certaines avec patio, d’autres avec baignoire extérieure ou encore avec vue sur un champs de blé et au loin le désert des Bardenas. Les tarifs débutent à 205€ la nuit en basse saison, 225€ en haute saison.
L’hôtel propose également des bulles pour dormir presque à la belle étoile. Les tarifs sont à 265€ en basse saison et 285€ en haute saison.
Le petit déjeuner n’est pas inclut dans le prix des chambres et est à 18,5€ par personne.
Si le panier pique-nique vous intéresse, il vous en coûtera 28€ par personne (oui, c’est cher, je vous avais prévenu !).
Alors oui, c’est loin d’être un hôtel premier prix, mais l’expérience en vaut le coup, vous ne serez pas déçus !
Pour réserver une chambre c’est par ici : réserver une chambre à l’hôtel Aire de Bardenas.
A la découverte du désert des Bardenas Reales
C’est donc munis de notre plan fourni par l’hôtel que nous partons à la découverte du désert.
Il se découpe en 3 parties distinctes :
- au Nord, El Plano qui se compose d’un grand plateau avec beaucoup de cultures
- au milieu, la Bardena Blanca, la partie la plus désertique dans laquelle on retrouve les paysages caractéristiques du parc. Elle est elle-même divisée en 2 zones, la Blanca Baja et la Blanca Alta.
- au Sud, la Negra, la partie la plus « verte » composée de nombreuses collines
Pour faire plus simple, je vous mets ci-dessous le plan du parc pour que vous compreniez mieux son découpage.
S’il existe de multiples façons de partir à l’assaut du parc, nous choisissons de l’explorer en voiture et à pied. Il faut savoir qu’il y a peu de routes praticables en voiture au sein du parc. La route principale permet de faire le tour de la Blanca Baja (autour de la zone militaire, le « polygone de tir »), une route secondaire permettant également de traverser la Blanca Alta. Plus au Sud, 3 routes permettent également de découvrir la Negra. Au Nord, une route permet d’accéder à El Plano. A pied, il y a plus de possibilités puisque l’on peut emprunter à peu près tous les chemins.
Comme j’ai eu beaucoup de mal à trouver des itinéraires de randonnées faciles sur Internet, nous avons simplement décidé de faire les 2 petites balades assez courtes de la Blanca Baja indiquées sur le plan en se disant qu’on trouverait sûrement d’autres itinéraires balisés une fois sur place :
- le parcours A : le Cabezo de Castildetierra
- le parcours B : le Cabezo de las Cortinillas
La Bardena Blanca
Dès notre arrivée, on part à l’assaut de la Bardena Blanca. Les premiers kilomètres nous révèlent des champs de blés blondit par le soleil, des bergeries que l’on croirait abandonnées là depuis des années avec en toile de fond, les formations rocheuses qui font la renommée du parc.
Mais avant de s’en approcher, on décide d’aller voir l’emblème du parc : la cheminée de fée, le fameux « Castil de Tierra ». Si comme moi vous n’aviez jamais entendu parler des cheminées de fée, sachez qu’il s’agit de grandes colonnes naturelles composées de roches friables et dont le sommet est constitué d’une roche plus résistante à l’érosion. On peut en trouver un peu partout dans le monde.
J’avoue que cette « cheminée » est assez impressionnante, on se rend vraiment compte de l’érosion que subit la roche, des différentes couches de sédiments qui se sont déposées là et c’est plutôt bluffant de voir ce petit bout de pierre posé en équilibre sur tout ça. On s’attend presque à le voir tomber à chaque coup de vent. D’ailleurs un panneau explique très bien la formation de ces cheminées et indique même que le Castil de Tierra finira un de ces jours décapité ! Mais dans combien de temps, ça personne ne le sait…
C’est d’ici également qu’est censé démarrer la petite randonnée du Cabezo de Castildetierra mais nous ne voyons aucune indication, on ne sait pas trop où aller. Après avoir tourné autour un moment, on se rend compte qu’il faut que l’on descende dans le « barranco », le canyon qui court le long du Castil de Tierra. Problème, il a tellement plu ces derniers jours que le canyon est rempli d’eau… et personne n’ose s’aventurer dedans, nous compris. Ok tant pis, on reprend la voiture et on continue notre tour de la Blanca Baja.
Arrivés à la bifurcation, on décide de tourner à gauche et de traverser la Blanca Alta. Bon, j’avoue que la Blanca Alta ne nous a pas subjuguée, le paysage n’est pas vraiment extraordinaire. Et puis il faut dire qu’avec toute la pluie qu’il y a eu, finalement le désert ne nous apparait pas si désertique que ça : tout est vert autour de nous ! Arrivés à l’extrémité Nord du parc, nous faisons demi-tour, un peu sur notre faim.
C’est sur le chemin du retour qui nous remarquons vraiment les reliefs de la Pisquerra, le « Monument Valley » ibérique. Nous nous garons sur le bas-côté, décidés à découvrir un peu plus cette formation. Malheureusement, les chemins pédestres qui y mènent sont interdits en été, en raison de la reproduction des rapaces qui nichent plus particulièrement dans cette zone. On passe donc notre chemin.
Il en est de même quelques kilomètres plus loin, à El Rallon. Je suis un peu déçue, je savais que certains chemins étaient inaccessibles en été mais je n’avais pas compris que c’était en fait là où était regroupé tous les plus beaux paysages du parc… On se contente donc de les admirer de loin. C’est dommage car effectivement ça doit être assez incroyable de se balader au milieu de ce paysage plutôt surréaliste !
C’est donc en voiture que nous continuons d’explorer le parc. Et si le beau temps nous avait accompagné jusque là, un gros nuage bien noir semble maintenant se diriger droit sur nous. Évidemment, l’orage nous rattrape et nous avançons maintenant sous des trombes d’eau (petite pensée émue pour les pauvres VTTistes qui visitaient le parc à ce moment là).
La boucle est presque bouclée quand nous arrivons au Cabezo de las Cortinillas. Enfin quelque chose d’accessible ! Mais il pleuviote et les escaliers permettant d’accéder au point de vue sur le désert sont fermés pour cause d’éboulement possible (on peu quand même les emprunter mais à nos risques et périls)… évidemment, on ne s’y risque pas même si on voit plusieurs personnes se lancer à l’assaut des 219 marches de l’ancien observatoire militaire. On se balade quand même autour des formations rocheuses, elles sont vraiment très belles.
La route nous ramène devant le Castil de Tierra et devant le temps plus que menaçant, nous décidons de rentrer à l’hôtel. Nous avons visiblement bien fait car peu après notre arrivée, la pluie a repris de plus belle nous laissant peu de répit pour profiter des extérieurs de l’hôtel. Heureusement que l’intérieur est canon !
La Negra
Le lendemain, le soleil a refait son apparition. Après notre toujours si copieux et délicieux petit déjeuner, nous décidons de partir explorer cette fois la Bardena Negra dont l’entrée se situe sur la même route que notre hôtel.
Les paysages sont très jolis, très différents de ce que l’on a pu voir dans la Bardena Blanca. On emprunte un petit chemin à flanc de colline où les arbres et les fleurs s’épanouissent par milliers. Après quelques kilomètres, la malchance nous rattrape, on se retrouve sur un petit chemin vraiment très boueux. La voiture à du mal a adhérer et on a un peu peur de s’enliser. Comme on a pas trop envie de se retrouver coincés ici (il faut savoir que contrairement à la Bardena Blanca qui est assez touristique, depuis qu’on est dans la Negra, on a croisé aucune autre voiture…), on décide de faire demi-tour.
Décidément, je crois que le désert des Bardenas Reales ne veut pas de nous ! C’est un peu dépité que nous décidons de sonner la fin du week-end et de rentrer sur Toulouse.
Informations pratiques
Le parc est ouvert à partir de 8h00 jusqu’à une heure avant le coucher du soleil. En général, toutes les zones du parc sont ouvertes, exceptées les zones de la Pisquerra et de El Rallon qui sont fermées entre février et août/septembre. Du coup, si ce sont ces zones qui vous intéressent prioritairement, je vous conseille de bien faire attention à la période où vous vous y rendez. Vous pouvez trouver toutes les informations nécessaires sur le site de Frédéric Moncoqut, un fan du désert des Bardenas qui a créé un site dédié à ce lieu.
Il existe plusieurs entrées pour accéder au désert des Bardenas Reales mais le centre d’information se situe au niveau de l’entrée Ouest, près de Arguedas.
Le désert peut se visiter de multiples façons : à pied, en voiture, en VTT, à cheval, en quad, en segway … à vous de choisir la plus appropriée ! Pour ma part, j’avais envie de faire une demie-journée à cheval mais vu les prix, j’ai vite renoncé. Surtout que vu le temps qu’il a fait, ce n’est pas plus mal au final. Si c’était à refaire, je pense que nous louerions des VTT, ça me semble être la meilleure façon de se balader dans le parc vu qu’il existe plusieurs itinéraires balisés destinés aux VTT.
Attention, si vous choisissez de faire le tour du parc principalement en voiture et que vous ne souhaitez pas marcher (ou que vous n’avez pas de chance comme nous), sachez que le tour de la Bardena Blanca ne vous prendra pas plus de 3-4 heures, arrêts photos compris. Il est du coup peut-être judicieux de combiner avec des randonnées à pied ou en VTT.
Et pour les van addict, sachez qu’il est interdit de dormir dans l’enceinte du parc !
Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site officiel : http://www.bardenasreales.es/
Notre week-end dans le désert des Bardenas Reales : bilan
La belle découverte du week-end aura été sans conteste le superbe hôtel Aire de Bardenas pour lequel nous avons eu un véritable coup de cœur ! C’est vraiment un endroit magique, un havre de paix aux portes du désert. Dommage qu’il soit si loin de Toulouse !
Côté désert, je pense qu’on est un peu passé à côté, notamment à cause du mauvais temps, de la pluie et de tous les chemins inaccessibles (à cause de la boue ou autre). C’est donc un peu frustrés par ce rendez-vous manqué que nous sommes rentrés chez nous.
Si vous prévoyiez de visiter le parc, je ne peux que vous conseiller de vous renseigner avant sur les zones fermées et surtout de bien checker la météo car même s’il n’y a pas de pluie prévue le jour de votre venue, s’il a beaucoup plu les jours précédents, vous risquez de vous retrouver coincés comme nous avec des chemins boueux et inaccessibles aussi bien à pied qu’en voiture. Et puis j’avoue que la pluie a donné un autre visage au parc, surtout par rapport aux photos que j’avais pu voir avant de venir : il était particulièrement vert et la terre argileuse gorgée d’eau arborait une teinte plus marronnasse que blanche. Du coup, pour l’aspect désertique, on repassera !
Mais je ne m’avoue pas vaincue pour autant ! Pourquoi ne pas y retourner un jour (sous le soleil) pour y faire du VTT ? Qui sait !
Vous aussi ça vous est déjà arrivé de passer à côté d’un lieu dont vous rêviez depuis longtemps à cause de facteurs extérieurs ? Comment avez-vous géré la situation ? Et si vous avez déjà visité le désert des Bardenas Reales, n’hésitez pas à me donner votre ressenti et vos bons plans en commentaires !
Si comme moi, vous adorez Pinterest, n’hésitez pas à épingler cet article pour le garder sous le coude ! Et bien sûr, vous pouvez me suivre sur mon compte Pinterest Escapades etc.
Le fond de carte utilisé pour la création de la carte du désert des Bardenas Reales provient du site histgeo.ac-aix-marseille.fr
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Effectivement, ce n’est vraiment pas de bol ! Le week-end un peu de la loose, on y a tous droit à un moment ou à un autre durant nos voyages !
Je te rassure, à Toussaint on n’avait pas pu faire non plus la Pisquerra. Les chemins étaient fermés car beaucoup de passage durant l’été et beaucoup de vent donc les massifs s’érodaient trop, donc ils avaient fermé les chemins d’accès. Mais comme dans les Dolomites, beaucoup de fraudeurs irrespectueux pour quelques clichés ou des sportifs qui ne savent pas lire les panneaux (hum hum) !
Ah oui ? On a pas assisté à ce genre de choses nous, mais quand on a vu les panneaux, on a vite fait demi tour, on s’est pas trop éternisé ! J’aimerais quand même y retourner un jour, j’ai un peu un sentiment d’inachevé là ! Merci pour ton commentaire 🙂
waww
Super ton article ! Il contient toutes les informations utiles pour faire une visite. C’est dommage que tu n’as pas pu bien profiter du désert. Tu conseilles combien de jour pour faire le tour du désert ?
Nous sommes tentés par l’hôtel pour une nuit dans une bulle ! Ca doit être bien sympa surtout pour le coucher de soleil, par contre le prix… En tout cas, tu nous as fait rêver avec tes photos 🙂
Merci pour votre commentaire ! Pour la durée, tout dépend de ce que vous voulez faire. Si c’est juste le tour en voiture et un peu de marche, 2j suffisent je pense pour explorer tous les chemins accessibles en voiture (s’il fait beau !). Si vous voulez faire des randonnées ou du VTT (voir du cheval), peut-être que 1 ou 2 jours supplémentaires ne seraient pas de trop si vous voulez alterner entre efforts et repos.
La nuit dans les bulles doit être très sympa, nous ne l’avons pas fait à cause du prix mais aussi car je ne sais pas trop où se situe la salle de bain dans ces bulles, et même s’il y en a une… mais nous avons bien fait car vu qu’il a plu tout le week-end, je ne suis pas sûre que la nuit fut très agréable pour ceux qui y dormaient … (sans parler du fait que si le temps t’empêche de sortir, ben t’es coincé dans ta bulle !).
En tous cas, bon séjour à vous 2 !
Ce désert et cet hôtel sont dans ma to do depuis longtemps ! Par contre, c’est intéressant de voir que parfois, le paysage n’est pas celui qu’on attendait de voir ! Fichue météo ! Mais les photos donnent quand même bien envie d’aller visiter ce petit coin d’Espagne ! 😉
Merci Violaine 🙂 Je crois que l’hôtel est sur la to-do de beaucoup de monde, mais c’est à faire ! Et pour le désert, c’est vrai qu’on a pas eu de chance… mais qui sait, on y retournera peut-être !
Hello ! Je voulais simplement vous remercier pour cet article hyper complet, cela m’a beaucoup aidé à planifier notre week end! Continuez ainsi 🙂 !
Merci beaucoup, je suis contente d’avoir pu vous aider ! 😊
Ca avait l air vraiment chouette à ne regarder que les photos. Je trouve piur ma part que ton récit donne envie.
Sais tu s il dispose d un accès transport en commun a ce desert?
Bonjour et merci !
Non je ne sais pas si on peut y aller en transports en commun, mais je pense que tu trouveras toutes les infos sur le site officiel : http://www.bardenasreales.es/
Bon voyage si tu y vas !
C’est impossible de visiter votre blog sans avoir envie de découvrir ces pays. Merci de partager ces expériences avec nous, car on ne peut pas toujours les visiter. Du coup, vos articles nous font voyager un peu.
Merci, je suis ravie que mon blog vous fasse voyager un peu 🙂
bonjour,
je souhaite trouver une location du 14 au 15 mars pour 4 personnes pour fêter les 50 ans de mon mari dans le désert
Bonjour, je suis désolée mais je ne peux pas vous aider, je n’organise pas de voyages.
Très bon article, bonne continuité
https://www.medespoir.ch
« Petit » détail à corriger, le désert fait 42000 hectares pas 42 ! 😉